Canalblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

Compagnie Mauvais Coton

13 mai 2013

LE VOL DU REMPART: Résidence au Train-Théâtre de Portes les valence, Fin Nov-Début Déc

Dernière ligne droite et création lumières avant les PREMIERES les 4 et 5 DECEMBRE 

Le public d'adolescents est en transe, même si l'équipe du spectacle n'est pas encore très sûre d'elle !

Et c'est parti pour la tournée :

- 11 au 14 décembre 2012
Théâtre de Bourg en Bresse, Bourg en Bresse (01)


- 22 janvier 2013
Maison des arts, Thonon-Evian (74)


- 25 au 30 janvier 2013
Festival Janvier dans les Etoiles, La Seyne sur Mer (83)


- 1er février 2013
Centre culturel Le Polaris, Corbas (69)


- 8 & 9 février 2013
La Cascade, Bourg St Andéol (07)


- 12 mars 2013
Le Grand Angle, Voiron (38)


- 15 & 16 mars 2013
Théâtre du Vellein, Villefontaine (38)


- 20 au 23 mars 2013
Théâtre de la Croix Rousse, Lyon (69)


- 30 mars 2013
Théâtre de Cusset, Cusset (03)

- 16-17 août 2013

Festival La route du cirque, Nexon (87)

- 27 août 2013

Festival au bonheur des mômes, Grand Bornand (74)

- 10 & 11 décembre 2013
La Rampe, Echirolles (38)

-2014: tournée Bretagne en cours...

 

Crédits photos: J.P.Estournet

L1040380

L1040387a

Publicité
Publicité
13 mai 2013

LE VOL DU REMPART, Résidence PNAC Méditerranée, à la Seyne sur Mer, Fin Oct-nov 2012

 

L1040368

Un bon mois de résidence à la Seyne, où tout se définit: costumes, scénographie, mise en scène, choix du frontal...

Crédits photos: J.P.Estournet

 

 

L1040413

 

 

 

13 mai 2013

LE VOL DU REMPART: résidence à l'hôpital de Bégard, Bretagne, en collaboration avec le Carré Magique de Lanion, et les Galapiat

Résidence à Bégard en Bretagne, dans le chapiteau des Galapiats planté en plein domaine psychiatrique.

Des handicaps physiques, mentaux, des dépendances à l’alcool, à la drogue, … A chaque problème son service.
Et pour nous de jolis problèmes, un beau merdier organisationnel. Katell pas là la première semaine, puis la venue d’Antonin à la
lumière au plateau et Natasha aux costumes. L’esquisse d’un défilé de mode version scotch, membres scotchés.

KatellvoleN&B

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Crédits Photos: S.Armengol

On parle beaucoup, il pleut aussi, et surtout… une nouvelle expérience qui nous a coûté un bras de moral. On a pété le culbuto !
On appelle ça la coquille de noix : la demi sphère de 300kg est à plat sur le plancher et on s’amuse à la retourner, sachant qu’il nous faut 4 minutes d’efforts et de précautions. C’était trop lourd, nous n’avons pas poussé en même temps il est retombé à plat de sa hauteur. 
Le choc violent a détruit tout l’intérieur. Nous voilà parti pour une semaine de réparations, foireuses il faut bien le dire, avec du CP
chinois et des scies sauteuses qui coupent n’importe comment, et puis notre frustration de ne pas avoir le temps d’avancer artistiquement.


Bien sûr et heureusement, chaque jour nous intervenions dans les
services auprès des patients atteints de handicaps plus ou moins
visibles.
Là il fallait être là, 2000 fois là pour ces gens qui sortent peu des           

TousenHautMatservices où ils habitent, des gens qui ont besoin de frontières

comme repères et rester le mieux possible en lien avec notre réalité, la réalité hors les murs.

Nous étions ponts entre, dans et hors les murs, nous étions Frontière auprès d’eux.

Une frontière qui retient s’il
faut, mais surtout une frontière qui encourage à passer, à
outrepasser, puis à revenir là où on est bien, là où on est mieux, une
frontière qui veille, qui se rend mobile, qui essaye, qui découvre,
qui donne tout en apprenant d’eux et de leur inépuisable sincérité.

Il y avait de la vie là dedans, les services étaient différents, il
y avait de la mort aussi. Mais la mort met d’autant plus la vie en
relief.


Les patients quels qu’ils soient avaient quasiment tous une
sensibilité très particulière aux vibrations musicales. Ce ne sont pas
les oreilles, c’est le corps entier récepteur d’impacts musicaux.
Nous avons pris conscience, en vue de leur réaction, de la
responsabilité de nos doigts et de nos souffles dans les instants
d’échanges vibratoires qu’il y avait.

Nous avons eu la chance de les avoir en public, d’avoir leurs réactions pures, leur écoute impliquée,leur honneur et leur fierté simple qui rentraient dans une poignée de main ou dans le fait de se reconnaître deux jours après, et de se saluer encore.

 

13 mai 2013

LE VOL DU REMPART. Résidence de Septembre au Théâtre de Cusset

Cusset-il passé à Cusset ?

Une résidence qui commence par un jeu de mot au premières minutes de notre arrivée dans cette ville, je propose
« Dans Cusset, il y’a sait… » et Vincent me répond « oui et dans Vichy, y’a vie… ».

C’est subtil, mais ça donne le ton et c’est important pour bien comprendre avec quelle décontraction nous avons
abordé nos retrouvailles après ces petits mois d’été qui sont passés tellement vite qu’on en est déjà à l’heure d’hiver...

DSC_0842

 

 

 

 

 

 

 

 

Crédit photo: A.Allard

 

On s’est mis tranquillement au travail dans ce lieu confortable qu’est le Théâtre de Cusset, tout en étant bien entouré de leur équipe présente, active et chaleureuse.


L’évènement majeur de cette période de travail est la rencontre avec notre regard extérieur : Pierre Talaron. On a discuté, il nous a
proposé des jeux d’écoute, qui enfin nous on rassemblé en tant qu’unité, en tant que groupe.

Nous avons donc, par la même occasion,bien pris conscience de l’ampleur de nos différences. On avait besoin de quelqu’un pour nous rassembler sur une énergie commune, pour nous mettre tous ensemble dans le même spectacle.

Voilà ce que Pierre a fait, il nous a aussi ouvert les yeux sur de nouvelles possibilités.
Plus les jours passent, plus on a de questions, plus on veut de réponses. Et on a besoin de réponses pour solidifier nos idées et nos actes.

DSC_0912

 

 

 

 

 

 

 

Crédit photo: A.Allard

 

Le jour de la présentation, comme d’habitude, nous n’avons pas triché, on a essayé de montrer sincèrement ce qu’on avait cherché et qui était parfois fragile. Nous ne nous sommes pas protégés derrière ce qu’on sait faire (ou croit savoir faire).

Il me plaît de donner à montrer cette honnêteté au public, à nous-même, à nos proches. Regardez, on essaye de faire un truc moyennement efficace à court terme, et si vous saviez ce que ça nous coûte en savoureuses engueulades bénéfiques !
Mais on le fait dans l’espoir qu’aux futurs représentations, on frôle d’intenses moments de virtuosité par les corps, par les sons, et par les situations.

Crédit photo: A.Allard

DSC_0914

DSC_0857

13 mai 2013

Aurillac 2012: Collectif "Passe moi le cirque" !

 

visuel AURILLAC 4 (21x14 cm)  Le collectif s'est installé au parc Hélitas, et le public, à l'ombre des grands arbres, profitait du spectacle confortablement...Un beau moment !!

DSC_0502

 

 

 

 

 

Publicité
Publicité
13 mai 2013

JUSTA PUGNA :Crédits photos : Maud Merieux,

JUSTA PUGNA :Crédits photos : Maud Merieux, Anne-Lise Allard

Entrée Peignoirs

IMG_6622

Groove

IMG_6740

DSC_0395

13 mai 2013

2 PETITES PIECES, 1 GRANDE GUEULE : ETE 2012 en PHOTOS

LES PORTES DU SUPERMARCHE:

IMG_6602

IMG_6605

DSC_0246

DSC_0335

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

DSC_0349Crédits photos: Maud Merieux et Anne-Lise Allard

16 juillet 2012

PROCHAINES DATES CET ETE !!

3 petites pièces, 1grande gueule

 

Prochaines dates :

 

En Ardèche du Nord, avec l'APPSOAR   http://www.calameo.com/read/000228743cc23f99eb9f0

Le 8 août, à Sécheras, à 19h30 (07)

Le 9 août, à Condrieu, à 19h  (07)

Le 10 août, à Colombier le Vieux, à 19h30 (07)

Le 11 août, à Annonay, à 20h30 (07)

 

Au festival d'AURILLAC, dans le cadre d'un collectif CIRQUE, appelé "PASSE MOI LE CIRQUE"

Du 22 au 25 août au parc HELITAS

15 juillet 2012

LE VOL DU REMPART (titre provisoire) CREATION 2012-21013 :

-          Après plusieurs rencontres entre les artistes, une première résidence a lieu du 27 au 31 décembre 2011, à la gare à Coulisses dans la Drôme.

DSC_0103

DSC_0129

 

                     

 

 

 

 

 

 

DSC_0035

  Crédits photos: A.L Allard

                      

 

Un spectacle où il est bien question de ramper, de voler, bref de s’extirper par tous les moyens. Et s’il faut employer les chemins les plus extrêmes pour avoir encore une chance de passer le rempart qui nous sépare de l’infini, alors oui !

 

 

L’objectif de cette première résidence était de créer une maquette de 20 minutes, présentée le 5 janvier 2012,

à LA ROUTE DES 20, au Théâtre THEO ARGENCE de St Priest.

 

DSC01194

                       

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Crédit photo: A.L Allard

 

-          La deuxième résidence se passe au Grand Pré, à Saint Brieuc, en Bretagne, du 2 au 22 avril 2012.

Les artistes  partent de la matière trouvée en amont, puis continuent à explorer.

L’idée est de se concentrer sur une disposition plutôt frontale.

Qu’est-ce qu’on peut y faire, quand une frontière a du sens pour l’un mais pas pour l’autre ? Qu’est-ce qu’on fait ? On s’engueule, on en rie, on contourne, on détourne, on essaye de pas trop se foutre sur la gueule, on avance, on parlemente, on abandonne et on recommence.

Des limites sont déjà tracées, d’autres se tracent encore. On veut passer la limite pour pouvoir rencontrer l’autre, pour mieux se découvrir à travers l’autre. Ça n’est possible qu’en passant la limite. A un moment, il faut se mettre en danger, à un moment il faut relâcher la garde pour que la vie s’exprime. Il s’agit d’amour, de voyage en tant que chemin de vie, d’hommes du monde, et d’apparences trompeuses. Il s’agit de savoir qu’on peut parcourir la terre et mourir, pour reconnaître qu’aujourd’hui maintenant, on en fait partie.

 

DSC_0005

DSC_0007

 

 

Ils présentent une étape de travail devant le public le 13 avril , dans le cadre du festival LES MOUETTES, organisé par la Cie Galapiat.

 

 

 

                                                                                              Crédits Photo: A.L Allard

Qui peut nous limiter, nous qui venons des étoiles, c’est aussi tragique qu’inacceptable que d’absurdes barrières de papier suffisent à nous arrêter. C’est comme ça, alors la moindre des choses c’est que ça nous fasse marrer. On en rampe pour passer mais c’est pareil de l’autre côté, peu importe le côté, au bout d’un moment c’est pareil. On en vole mais on en revient aussi fort que la gravité nous adore. On en crie de rage, de désespoir et de folie car faut que ça sorte d’une manière ou d’une autre et quand le corps ne peut pas traverser la ligne, c’est la voix qui s’en charge. La voix traverse les parois et projette notre âme par le ventre, et le ventre c’est là où naissent le courage et les enfants.

 

 

-          La résidence suivante se passe en Ardèche, à la Cascade, à Bourg saint Andéol, du 4 au 25 mai 2012.

 

L’équipe est par moment au complet, puisque seront présents la costumière, l’éclairagiste et le sondier. Les artistes continuent à creuser, à chercher, à approfondir, à imaginer, à s’inspirer, à essayer, à tenter. D’un point de vue matériel et construction technique également, le travail avance. Enfin, ils se concentrent cette fois sur un travail circulaire.

 

La solitude elle, elle est là, là partout, elle est déjà là rien que pour donner du relief aux moments qu’on passera ensemble… ça aurait bien pu s’appeler « des solitudes » comme de majestueuses solitudes en gravitation autour d’un ensemble idéal qui se réalise parfois, sans qu’on sache si c’est grâce à nos efforts ou grâce à la chance qu’on a réussi à attendrir quelques instants. Et nous, on la montre cette solitude propre à chacun de nous autres, interprètes de la poésie de la peau du dos, interfaces de chair entre ailleurs et ici, chercheurs d’or imaginairement réel, voleurs de sensations à la matière brute.

Textes de Nicolas Bachet, alias Georges.

 

Ils présentent une nouvelle étape de travail le 25 mai 2012 devant un public nombreux.

 

- La prochaine résidence aura lieu au Théâtre de Cusset du 17 au 30 septembre 2012.

Une présentation publique aura lieu le 29 septembre.

15 juillet 2012

2 PETITES PIECES, 1 GRANDE GUEULE

Après les dates de Justa Pugna, on enchaine avec la reprise du spectacle "3 petites pièces, 1 grande gueule".

Le jongleur n'est pas dispo, on présente donc 2 pièces.

On joue en après-midi devant un TAS d'enfants, et pour une séance très familiale ensuite. 

Les réactions des enfants sont très motivantes, et les parents s'y retrouvent dans les textes de Georges-le slammeur, bref, tout le monde a l'air content !

 

On joue donc d'abord au Festival du Printemps de Vienne, le 30 mai 2012

 

DSC_0011

DSC_0065

 

 

 

 

 

 

 

 

Crédits photos : A.L Allard

 


On joue ensuite au festival HISTOIRE DE CIRQUE, à Saint Quentin Fallavier, le 1er juin 2012

Histoire(s) de cirque

IMG_6605

IMG_6622

IMG_6685

IMG_6745

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Crédits photos: Maud Mérieux

 


- On joue enfin les 3 PIECES, au festival de l'Oasis Bizz'art, à Dieulefit, dans la Drôme,(26) le 8 Juillet 2012. 

L'Oasis Bizz'Art.jpg

 

Publicité
Publicité
1 2 3 4 5 6 > >>
Compagnie Mauvais Coton
Publicité
Publicité